Trump, le Libéria et la Mystérieuse Langue Anglaise : Une Saga Intercontinentale !
Par Suzy Wong
Ah, Donald Trump ! Ce président américain préféré des humoristes, celui qui a toujours eu le don de nous surprendre, jamais pour les bonnes raisons. Imaginez la scène : le Sommet des Leaders Africains à la Maison-Blanche, un événement où l'on s'attend à des discussions sérieuses sur l'économie, la paix, et le prix du pétrole. Mais non ! Donald, le gros cave, nous a offert un moment d'anthologie.
Quand le Président Apprend l'ABC des Nations
Il était là, au milieu des délégations, la face illuminée par une révélation digne d'une apparition divine. Il s'adresse au président du Libéria et, le ton empreint d'une surprise qui aurait fait pâlir un acteur d'Hollywood, il lance :
« Mais vous parlez anglais ! C'est absolument incroyable… merveilleux ! »
Tu sais, c'est le genre de chose qui te ferait échapper ton café du matin. C'est comme si un touriste débarquait à Montréal et s'exclamait : « Tiens donc, vous parlez français ici ! C'est donc ben bizarre ! » Ou encore, comme si tu allais à Rome et que tu découvrais avec stupeur que les gens parlent italien. Voyons donc !
Trump Découvre l'Amérique... en Afrique !" (Souligne l'héritage historique)
Le Libéria, pour ceux qui n'ont pas écouté en classe de géo, a été fondé par d'anciens esclaves affranchis venus des États-Unis. Du coup, devine quoi ? L'anglais y est la langue officielle ! C'est pas une coïncidence ou une lubie passagère, c'est leur langue, leur héritage, leur façon de jaser. C'est comme s'étonner qu'un habitant de Lévis parle québécois ou qu'un gars de Toronto parle anglais. Ça coule de source, non ?
On peut presque voir la scène se dérouler : le président libérien, sérieux, l'air de dire « Ben oui, mon champion, et on prend nos cafés avec du lait, pis on a des souliers pour marcher, c'est fou, hein ? ». Pendant ce temps, les conseillers de Trump devaient être en train de se pincer pour vérifier s'ils ne rêvaient pas. J'imagine déjà l'un d'eux, les mains tremblantes, feuilletant en catastrophe un vieil almanach : « Non, non, patron, c'est bien l'anglais, pas le langage des signes par tambours ou le sibérien ancien ! »
Cet épisode, c'est la preuve que même quand on est à la tête d'une superpuissance, on peut parfois être dans le champ solide. C'est comme si ton voisin, après des années à te côtoyer, te demandait soudainement : « Dis-moi, tu viens-tu du Québec, toi ? » C'est à se demander ce qui se passe dans la caboche de certains.
Au final, cette perle diplomatique restera dans les annales comme un classique du genre. Une petite anecdote savoureuse qui nous rappelle que l'humilité, même pour les plus grands, est une vertu. Et que parfois, une petite recherche Google, ça ne fait de mal à personne. N'est-ce pas, Donald ?
Commentaires