C’est lui qui l’a dit : si ce que je dis vous déplaît, ne votez pas pour moi… c’est ce qu’on a fait!
Par Suzy Wong
Ah, le chef du PPC, notre valeureux Maxime Bernier! On le sent encore tout chaud de sa cuisante défaite en Beauce. Une défaite tellement éclatante qu'on pourrait l'encadrer et la vendre comme une œuvre d'art abstrait représentant la fin d'une époque... ou peut-être juste un gros zéro bien gras.
Et le voilà, notre Maxime, tel un phénix déplumé mais toujours aussi convaincu de sa splendeur passée, qui jure vouloir rester à la barre de ce navire droitier qui vient de heurter un iceberg électoral si gros qu'il a probablement fait fondre les glaciers du Groenland. Quel sens du leadership! Rester à la tête après avoir mené son parti vers les abysses, c'est un peu comme le capitaine du Titanic qui insisterait pour faire une deuxième traversée, juste pour le plaisir.
On imagine déjà les stratèges du parti, réunis en cercle, se demandant si la solution n'est pas de changer le nom du parti. Peut-être que "Le Parti Qui N'Attire Personne" aurait plus de succès, qui sait? Ou alors, miser sur un nouveau slogan percutant : "Votez pour nous, on ne risque pas de gagner!". L'honnêteté, ça paie, non?
Quant à la Beauce, terre ingrate qui n'a pas su reconnaître le génie d'Emixam, on se demande bien quelle mouche l'a piqué pour qu'il envisage un retour. Peut-être qu'il collectionne les revers électoraux comme d'autres collectionnent les timbres? "Ah, celui de 2025 en Beauce... une pièce de collection rare, d'une humiliation particulièrement savoureuse!"
Mais soyons sérieux deux secondes (juste deux, hein!). Il faut admirer la ténacité de l'homme. Face à un désaveu aussi retentissant, la plupart des gens se cacheraient sous leur lit en mangeant du Ben & Jerry's. Pas lui! Non, il veut continuer. C'est beau, cette abnégation. Ou alors, c'est juste qu'il a perdu les clés de son appartement.
Alors bravo Maxime ! Continuez comme ça. Le spectacle est... euh... intéressant. Et merci à la Beauce pour cette tranche de rire involontaire. On attend avec impatience le prochain épisode de cette saga politique haute en couleur (surtout en rouge, la couleur de la défaite, apparemment).
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