Sécurité maximale ou portefeuille bien garni ? Faites vos jeux !

 Par Suzy Wong

Black Press file photo


La bataille des baisses d'impôt entre le PLC et le PCC : une surenchère de réduction

Ah, le débat éternel : baisser les impôts ou blinder la sécurité nationale? Au Québec, on connaît ça! On se demande toujours si on doit donner un peu de lousse à nos portefeuilles ou si on doit se préparer à l'apocalypse (le ministère de la santé).  Aux jours d'aujourd'hui, les priorités nationales : l'urgence de choisir entre le peuple et la protection... 

Impôts en baisse, sécurité en berne ? L'équation dangereuse

D'un côté, t'as les « fiscalistes du bonheur » qui te disent que baisser les impôts, c'est comme donner un Red Bull à l'économie. « Ça va stimuler la croissance! » qu'ils disent. Pis les gens, avec plus d'argent, vont enfin pouvoir s'acheter cette motoneige de luxe dont ils rêvent.

De l'autre, t'as les « paranos de la protection » qui te parlent de cyberattaques, de menaces étrangères et de méchants pas fins qui veulent voler notre eau douce et nos minerais. « On doit se protéger! » qu'ils disent. Pis là, on imagine des tanks américains dans les rues de Montréal et des agents secrets qui espionnent nos conversations à propos du Président d'à côté.

Alors, on fait quoi? On donne un peu de lousse aux taxes pour que les gens puissent se gâter, ou on investit dans des murs de béton et des drones pour se sentir en sécurité? C'est comme choisir entre une poutine extra-fromage et un bunker anti-atomique. Les deux ont leurs avantages, mais faut faire un choix.

Pis pendant ce temps-là, le gouvernement essaie de jongler avec les deux. Il baisse un peu les impôts ici, met un peu plus d'argent dans la sécurité là. Mais au final, on se demande toujours si on est assez riche pour se payer les deux.

Alors, chers Québécois du Canada, préférez-vous un portefeuille bien garni ou une forteresse imprenable? La réponse, comme toujours, dépend de vos priorités. Mais une chose est sûre : on va continuer à débattre de ça pendant longtemps, en sirotant notre café et en mangeant notre pain doré dégoulinant de sirop d'érable.

Commentaires

Denis Rioux a dit…
Il faut faire un débat des chefs sans le néolibéralisme pour un débat humains parce que le néolibéralisme est une religion mondiale monétaire qui se fait passé pour une laïcité et se néolibéralisme est très néfaste pour l'économie et corrompu pour nos sociétés.
Suzy Wong a dit…
Denis Rioux Le néolibéralisme, une religion?

Vous avez raison de dire que ça ressemble à une religion. C'est tellement ancré dans nos têtes qu'on dirait que c'est la seule façon de penser.
On nous dit que le marché, c'est le roi, que les entreprises savent mieux que l'État, pis que les riches vont faire ruisseler leur argent sur les pauvres.
Mais on voit bien que ça marche pas toujours comme ça. Les inégalités explosent, les services publics s'effritent, pis l'environnement en prend un coup.

Un débat sans néolibéralisme, ça donnerait quoi?

Ça serait rafraîchissant, en tout cas! On pourrait enfin parler d'autres affaires que de baisses d'impôts pis de déréglementation.
On pourrait jaser de comment on fait pour que tout le monde ait un emploi décent, un logement abordable, pis des services de santé de qualité.
On pourrait aussi se demander comment on fait pour protéger notre planète, au lieu de juste penser à faire du profit.
C'est pas gagné d'avance.

Faire un débat sans néolibéralisme, c'est pas une mince affaire. Y a tellement de monde qui pense comme ça, pis qui ont du pouvoir.
Mais c'est pas une raison pour se décourager. On a le droit de rêver à un monde plus juste, pis de se battre pour ça.
En gros, vous avez raison de vouloir un débat plus humain, où on parle des vraies affaires. Le néolibéralisme, c'est pas la seule option, pis il est temps qu'on s'en rende compte.

Mais il y’a un hic, le président Trump… donc à tout ce que je viens de dire il faut y ajouter des dépenses pour protéger notre territoire, notre souveraineté…

Mais vous avez raison!
Paul Dufour a dit…
Parti Conservateur du Canada
Suzy Wong a dit…
Paul Dufour,
Eh oui! Jadis, j’ai glissé 35$ volontairement dans la tirelire du parti, espérant secrètement qu'ils couronneraient un autre champion que le chef actuel. Mais en aucun temps, mon vote serait allé pour le PCC.

Et parlons de ces appels téléphoniques pour avoir mon appui, s'adresser aux Québécois dans leur langue, c'est une simple question de GROS BON SENS et de politesse!

Le respect de la langue française :

C'est un peu comme arriver à une fête et dire bonjour à tout le monde avant de se servir dans le buffet.
C'est montrer qu'on sait que le Québec, ce n'est pas juste une province sur une carte, mais un endroit avec une âme et une voix.

Les lois linguistiques :

C'est un peu comme respecter le code de la route : c'est là pour une raison!
Il est compréhensible d’avoir des attentes quant à la façon dont les partis politiques communiquent avec les électeurs québécois. Ça fait plusieurs fois que je demande à l’organisation de s’adresser à moi en français. Mais votre organisation semble avoir les oreilles bouchées.
Paul Dufour a dit…
Avoirquartierlibre well you should talk in english !
Lol, shame on you !

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