Quand la liberté de la presse fait de la résistance (et les dictatures, des crises de nerfs)

Par Suzy Wong

Image : IA


Ah, la liberté de la presse ! Ce joyau de la démocratie, cette épine dans le pied des dictateurs en herbe. L'histoire nous a appris que quand les gouvernements commencent à faire les gros yeux aux journalistes, c'est souvent le début d'une mauvaise série. Alors, sortez le pop-corn, car le spectacle va commencer !

Acte 1 : Les super-pouvoirs de la presse libre

Imaginez la presse libre comme un super-héros : elle informe les citoyens, démasque les méchants (alias les politiciens corrompus) et organise des débats enflammés. Sans elle, c'est un peu comme un repas sans dessert : il manque quelque chose d'essentiel. Elle révèle les abus de pouvoir, la corruption et les violations des droits de l'homme. En gros, elle fait le ménage dans les coulisses du pouvoir.

Acte 2 : Comment les dictatures mettent la presse au placard

  • La censure, ou l'art de faire disparaître les vérités gênantes : Les dictatures adorent jouer à cache-cache avec l'information. Un mot qui dépasse, une image qui dérange, et hop, tout disparaît ! C'est comme si on essayait de cacher un éléphant dans un placard.
  • La propagande, ou comment transformer les mensonges en vérités officielles : Les médias d'État deviennent des machines à propagande, diffusant des messages dignes des meilleurs scénarios de science-fiction. On transforme les citoyens en spectateurs passifs, applaudissant les exploits du grand leader.
  • Intimidation et violence, ou quand les journalistes jouent à cache-cache avec leur vie : Les journalistes indépendants deviennent des cibles de choix. Harcèlement, emprisonnement, voire assassinat... un vrai jeu de piste mortel.
  • Lois restrictives, ou comment bâillonner la presse en toute légalité : Les gouvernements adorent inventer des lois pour museler la presse. Diffamation, sécurité nationale... autant de prétextes pour réduire la liberté d'expression à néant.
  • Contrôle financier, ou comment affamer les médias indépendants : On coupe les subventions, on favorise les médias pro-gouvernementaux, et voilà ! Les médias indépendants se retrouvent à faire la manche.

Acte 3 : Les conséquences, ou quand la démocratie prend un coup de vieux

Sans presse libre, les citoyens deviennent des marionnettes, incapables de prendre des décisions éclairées. La corruption et les abus de pouvoir se multiplient, comme des lapins au printemps. La dissidence est étouffée, et la peur s'installe, transformant les citoyens en ombres silencieuses.

Acte 4 : Les exemples historiques, ou quand l'histoire se répète (mais pas en mieux)

De l'Allemagne nazie à l'Union soviétique, en passant par le Chili de Pinochet, les dictatures ont toutes un point commun : elles commencent par museler la presse. Plus récemment, la Russie, la Chine et la Corée du Nord ont perfectionné l'art du contrôle médiatique.  

Puis il y'a un jour ou deux,l'administration trumpienne, dans sa grande sagesse, a décidé de mettre en vacances forcées le personnel de Voice of America, Radio Free Asia et d'autres médias financés par le gouvernement. Oui, oui, vous avez bien entendu : des vacances ! Parce qu'après tout, quoi de mieux pour promouvoir la liberté de la presse que de bâillonner les journalistes ?

Alors, on se demande : qui sera le prochain sur la liste ? Les bibliothèques ? Les musées ? Les écoles de journalisme ? On a hâte de voir la suite de cette saga digne d'un film de série B. 

Conclusion : Un signal d'alarme, ou quand la liberté de la presse tire la sonnette

La liberté de la presse est un pilier de la démocratie. Quand elle commence à vaciller, c'est un peu comme si les fondations de la maison commençaient à s'effondrer. Alors, gardons l'œil ouvert et soutenons ceux qui osent dire la vérité, car sans eux, nous serions tous aveugles.

Commentaires

Anonyme a dit…
Suzy Wong concernant votre “dictature” svp regardez bien dans le pays que vous vivez présentement!!! Faut vraiment être inculte et borné pour dire que nous (américains) avons muselé la presse libre. Vos gouvernements ont acheté les merdias et vous ont passé un bill pour que nous n’ayez plus de contenu sur vos réseaux sociaux de l’extérieur. Vous ne vivez plus au Canada mais bien au Chinada!!! Svp, faites vous une faveur, éduquez vous 🤦‍♂️🤦‍♂️🤦‍♂️
Suzy Wong a dit…
Je comprends votre inquiétude quant à la liberté de la presse. Il est vrai que le Canada a parfois des débats animés sur le rôle des médias. Cependant, permettez-moi de vous rassurer : ici, les journalistes ne portent pas de menottes lorsqu'ils posent des questions difficiles, et nos politiciens n'ont pas encore développé de super-pouvoirs pour contrôler les ondes.

Quant au terme 'Chinada', je le trouve particulièrement créatif ! Cela dit, je vous invite à explorer un peu plus les sources d'information disponibles au Canada. Vous pourriez être surpris(e) par la diversité des opinions qui s'y expriment, même si certaines peuvent vous sembler... disons, originales.

N'hésitez pas à consulter les sites web de nos principaux médias, à écouter nos émissions de radio, ou même à lire nos journaux (oui, ceux en papier !). Vous y trouverez une multitude de points de vue, parfois contradictoires, mais toujours intéressants.

Et si jamais vous avez l'impression que la presse est trop 'muselée' à votre goût, n'oubliez pas que vous avez toujours la possibilité de vous exprimer librement, que ce soit sur les réseaux sociaux, dans les manifestations, ou même en écrivant une lettre ouverte à votre député.

Après tout, c'est ça, la beauté de la démocratie : chacun a le droit de donner son opinion, même si elle est... comment dire... divergente ?

Au plaisir de vous lire à nouveau, et n'oubliez pas : l'éducation est une aventure qui dure toute la vie !"

Messages les plus consultés