Élections fédérales 2025 : un spectacle plus divertissant qu'un match de hockey !

Par Suzy Wong



Les impôts : un casse-tête plus compliqué qu'un Rubik's Cube en mitaines !

Eh oui, mes amis, les impôts, c'est comme une bonne vieille tempête de neige en plein mois de juillet : ça surprend toujours et ça laisse un goût amer. On veut tous moins payer, mais personne ne veut se retrouver avec des services publics qui ressemblent à un chalet abandonné. C'est un peu comme essayer de faire une tour de Jenga avec des blocs de beurre : ça demande de l'équilibre !

Les services, c'est pas gratuit, tsé !

On aime nos écoles, nos hôpitaux, nos routes sans nids-de-poule gros comme le cratère du Chicxulub, mais ça coûte une fortune à entretenir, cette patente-là ! Si on coupe trop dans les impôts, on va se retrouver avec des routes dignes d'un parcours de rallye et des classes où on se bat pour une chaise.

Les promesses électorales, c'est comme les toasts au beurre de peanut :

Faut pas trop en abuser ! Les politiciens adorent nous promettre des baisses d'impôts pour qu'on vote pour eux, mais après, c'est comme essayer de faire tenir un chat dans un sac : ça se complique vite !

L'équilibre, c'est la clé, mon ami !

Faut trouver le juste milieu entre payer nos impôts et avoir des services qui fonctionnent. C'est comme faire de la raquette : faut doser l'effort pour pas se retrouver le nez dans la neige.

L'économie, c'est pas une science exacte, tabarnouche !

Des fois, baisser les impôts, ça relance l'économie, mais des fois, ça creuse la dette plus vite qu'un castor creuse sa hutte. C'est comme jouer au curling : faut bien calculer ses coups pour pas se ramasser dans le fossé.

Les élections fédérales 2025 : un spectacle plus divertissant qu'un match de hockey !

  • Les Libéraux : Les rois du « On dépense d'abord, on verra après »
    • Mark Carney, le banquier philosophe, nous parle de taux d'intérêt, de dette, de PIB... On dirait qu'il nous donne un cours d'économie pour les nuls. On se demande s'il a un plan secret pour transformer le Canada en Suisse du Nord, avec des montagnes et du chocolat.
    • Avec l'ancien PM Justin Trudeau, on aurait dit qu'ils avaient un compte de banque sans fond ! Ils promettaient des programmes à n'en plus finir, sans se soucier de la facture.
    • Leur devise : « Pourquoi se casser la tête avec les chiffres quand on peut juste imprimer plus d'argent ? »

  • Les Conservateurs : Les champions du « On coupe ici, on ajoute là »
    • Pierre Poilievre, lui, c'est le roi des coupes budgétaires. Il veut tout réduire, sauf les dépenses qui lui plaisent.
    • Son plan : « On enlève des sous aux uns pour en donner aux autres, pis tout va s'arranger ! »
    • On se demande s'il a un algorithme secret pour trouver des économies cachées sous les matelas des fonctionnaires.
    • La droite et ses impôts ! On dirait qu'ils ont une relation amour-haine avec l'argent de l'État. C'est un peu comme cette personne qui déteste les légumes, mais qui les mange en cachette quand même.  Selon eux, l'État, c'est comme un gros éléphant dans un magasin de porcelaine : lent, maladroit et qui casse tout. Alors, ils veulent le mettre au régime, en espérant qu'il devienne un gracieux chat agile. Mais parfois, il ressemble plus à un chat qui a mangé trop de croquettes...  Et puis, il y a cette idée que le privé, c'est comme un super-héros qui va sauver le monde des services publics. Sauf que parfois, le super-héros est un peu radin et préfère garder son super-pouvoir (l'argent) pour lui.  Alors, on se retrouve avec des garderies qui coûtent le prix d'un billet d'avion pour la lune, et un système de santé où il faut prendre rendez-vous avec son arrière-grand-père pour avoir une consultation. Mais bon, au moins, on a des impôts moins élevés ! (Enfin, pour certains...)
  • La gauche et ses impôts :
    • C'est vrai que le fardeau fiscal est une préoccupation partagée, même si les solutions proposées diffèrent. Les partis de gauche, avec leur penchant pour la redistribution, sont souvent accusés de vouloir piger dans un pot qui n'est pas toujours rempli. On imagine bien le scénario :
      • La gauche : « Il faut plus d'argent pour les services publics ! Plus d'impôts pour les riches ! »
      • Les riches : « Mais... on n'a plus d'argent ! »
      • L'État : « Euh... on a déjà un peu dépassé le budget... »
      • Et là, c'est le début d'une grande aventure financière, où l'on jongle avec les chiffres en espérant que personne ne remarque qu'il manque quelques zéros.
    • On peut imaginer les débats enflammés à l'Assemblée Nationale :
      • « Il faut taxer les licornes ! »
      • « Et pourquoi pas les arcs-en-ciel tant qu'on y est ? »
      • « On pourrait toujours vendre des droits de passage sur la Voie lactée... »
    • Bref, la gauche et la droite ont chacun leur façon de voir le portefeuille de l'État. C'est un peu comme deux chefs qui essaient de cuisiner un repas avec les mêmes ingrédients, mais qui ont des recettes complètement différentes. Et parfois, le résultat est... surprenant.
    • En gros, c'est un peu comme un party de famille où tout le monde promet de payer la facture, mais personne n'a de cash.

Le dilemme du vote : un choix plus difficile que de choisir entre la poutine et la tourtière !

  • Le vote « coup de cœur » :
    • C'est un peu comme choisir son dessert préféré : on suit ses envies, sans se soucier des calories ou des conséquences. Après tout, pourquoi se priver du plaisir de voir son parti fétiche, même s'il n'a aucune chance de gagner ? C'est tellement plus romantique que de voter pour le « moins pire ».
  • Le vote « stratégique » :
    • Ah, le noble art de la manipulation électorale ! On se prend pour Machiavel, on calcule les probabilités, on fait des alliances improbables... Et on finit souvent par se retrouver avec un résultat qu'on n'avait pas du tout prévu. C'est ça, la démocratie !
    • C'est comme jouer aux échecs avec un bandeau sur les yeux : on essaie de prévoir les coups de l'adversaire, mais on finit toujours par se faire mater.
    • En plus, c'est tellement gratifiant de se dire qu'on a « sauvé le pays » en votant pour le parti « le moins pire ». On se sent presque comme un super-héros... jusqu'à ce qu'on réalise que le pays est toujours aussi chaotique.

En conclusion :

Que vous votiez par amour ou par raison, rappelez-vous que le plus important, c'est de participer. Après tout, c'est votre droit de citoyen de vous plaindre du résultat, quel qu'il soit !

Et n'oubliez pas : en politique, il n'y a pas de bons ou de mauvais choix. Il n'y a que des choix... avec des conséquences hilarantes.

J'espère que ça vous a fait sourire!


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