Suivez-moi :

Qlub

Alors, si tu veux supporter cette maudite bonne idée et montrer que t'as du goût (et un peu trop d'argent qui traîne), abonne-toi à Qlub+.😜

Le Droit de Penser : L'Unique Camp qui n'est pas Financé par l'Extrême

 Par Suzy Wong 


Ah, la politique. Calvaire, quel show de boucane pathétique ! Évidemment que ça vient des deux côtés ! C'est le B.A.-BA du slack : si t’as pas de guts d’avoir une position claire, tu dis que « les deux sont pareils » pour te faire passer pour un intellectuel next level.

Le Show Suicidaire : Qui nous Câlisse Dehors le Plus Vite, les Wokes ou les Rich-Men ? 

La «droite», par exemple. Enfin, ils ont réussi à créer leur propre straw man avec des cheveux mauves et un baccalauréat en victimologie : le fameux «woke de paille». Un monstre d’imbécillité que t'as jamais croisé à l'épicerie, mais qui leur permet de gueuler contre tout ce qui sent l'idée nouvelle. Leur propagande? C’est le miroir de celle de la gauche: ils ont fully absorbed les techniques de l’autre bord tout en s’empêtrant dans leur propre arrogance à croire qu’ils sont les seuls à avoir le breakdown de la Vérité. Quelle ironie, check ben ça!

Moi, j'ai une nouvelle typologie politique, zéro compliquée. On oublie la gauche pis la droite. On parle de ceux qui nous câlissent dehors en moins de trente ans:

1. Le Club des Moralisateurs en Chef (Gauche): Celle qui, à force de virtue signaling intense, va démanteler les fondations de la civilisation en une single generation. Pourquoi? Parce que c’est moralement supérieur, pis surtout, ça leur donne bonne conscience. Un exemple? Exiger des quotas de représentation pour des minorités minoritaires dans chaque phrase publique, même si ça paralyse le débat sur les vrais problèmes économiques.

2. Les Rich-Men de l'Apocalypse (Droite): Celle qui, par pure cupidity à court terme, va démolir les fondations de la civilisation en une single generation. Pourquoi? Parce que c’est crissment profitable, pis tant que le stock monte, le reste, on s'en criss! Un exemple? Regardez l'Alberta et ses sables bitumineux. On en extrait 10 fois ce qu'on use nous-mêmes. Mais PetroChina—nos best buds—faut qu’ils boost l'extraction de 600 %! Et nos braves Vampires du Black Gold veulent des pipelines everywhere pour doubler la production.

Le goal? Un petit spasme de joie dans leur portfolio boursier. Pendant ce temps, ils intimident pis conspuent les énergies alternatives. Anyway, pourquoi s’inquiéter du real world quand tu peux investir dans ta propre destruction, right?

Les Cheerleaders du Chaos: Nos Chroniqueurs et leurs Fans Finis

Et là, on arrive au moteur du désastre : Les chroniqueurs ! Ces phares de la pensée ! Eux, ils sont là pour s’assurer que jamais, never, une idée nuancée ne vienne ruiner le party, question de vendre leur esti de journal, leur émission de TV pis de radio.

Leur job, c'est de trouver le gars à l'extrême gauche qui dit une folie, ou le vieux chum à l'extrême droite qui hurle à l'antenne, pour ensuite les peindre comme étant la norme. C'est eux qui nous rappellent tous les matins que l'autre camp n'est pas en désaccord, mais est fondamentalement mauvais et veut la mort de vos enfants.

Le plus drôle, c'est leurs fans finis :
  • Les Followers de l'Écrivassier Polaire: Ces gens qui pensent qu'un chroniqueur est un expert sur absolument tout, du système de justice à la composition des gaz à effet de serre. Ils ne lisent plus l'information, ils lisent la colère de leur gourou.
  • La Gang des Cabochons: Pour eux, le débat est terminé dès que leur vedette médiatique a craché son fiel. L'autre camp? C'est une gagne de jambons ou de cabochons! Ils ne se demandent jamais si, par hasard, les chroniqueurs hyper-polarisés qui sont payés pour gueuler ne sont pas, eux-mêmes, le principal problème du Québec.
Ils sont les producteurs exécutifs de la Haine Partisane. Ils transforment le débat en un concours de farts intellectuels, où seul celui qui pue le plus fort est le plus légitime.

Moi, j’ai pas de camp. Je suis juste assis là, avec mon gros popcorn, à watch le progrès dans l'humanité se faire dévorer par les deux camps qui se croient les plus légitimes. Mon camp, man, c'est celui de la souveraineté intellectuelle : celui qui refuse de se faire étiqueter, qui se sent libre de réfléchir et surtout, qui se donne le droit de changer d'idée avec le temps. C'est pas une position de slack. C'est juste le seul siège qui n'est pas en train de brûler. Un vrai feast d'autodestruction. Enjoy, ça ne dure qu'une génération, man!

Commentaires

Messages les plus consultés