Epstein : Le Caillou dans le Soulier du Trumpisme
Par Suzy Wong
La Preuve que Tout a des Limites : Même la Loyauté Aveugle
Ah, le dossier Epstein ! Ce nom-là, juste à l'entendre, ça donne le goût de grincer des dents pis ça fait ressortir les théories les plus... imaginatives. Pis là, on dirait que le manque de transparence autour de ces enquêtes-là, perçu ou réel, a réussi l'impensable : creuser un maudit fossé entre le président Donald Trump pis sa gang de Républicains, habituellement collés à lui comme des timbres.
C'est quasiment poétique, ça, non ? Après des années de loyauté ben solide, de support inconditionnel vente et marée, de "fausses nouvelles" pis d'attaques de toutes sortes, v'là qu'un dossier noir de même, plein de secrets pis de non-dits, vient ébranler la base même de cette relation-là.
Trump et Epstein : Le Scandale de Trop, Pis l'Oubliable de Moins
C'est la preuve, mes amis, que même la fidélité la plus à l'épreuve a ses limites. Quand l'ombre du doute plane sur des affaires aussi dégueulasses pis que la lumière a pas l'air de vouloir se faire au complet, même les plus fervents partisans commencent à froncer les sourcils. Y veulent des réponses, pis vite. Pas des pirouettes, pas des choses pas dites. Juste la vérité, dans toute sa splendeur... ou son horreur.
Qui aurait cru que les démêlés judiciaires d'un maudit délinquant sexuel notoire seraient le petit grain de sable capable de faire dérailler la machine politique la plus huilée des États-Unis ? C'est le genre de revirement qu'aucun scénariste oserait écrire, de peur qu'on lui dise que c'est pas réaliste. Pis pourtant, la réalité, elle, s'en prive pas.
Le fossé se creuse, là. Parce que même les plus chauds partisans commencent à se demander si la protection de l'élite dépasse pas les bornes du gros bon sens. Pis dire que certains pensaient que les émeutes ou les scandales de cash seraient le point faible... Non, c'est bien la justice, ou plutôt son absence perçue dans un dossier aussi crade, qui vient foutre le bordel. C'est le genre de show qu'Hollywood refuserait parce que c'est trop kétaine. Pis pourtant, on est là-dedans. La grosse farce continue, mais avec un nouveau niveau de malaise, tabarnouche.
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