Le Menu Politique de Legault: Un Fufu de Promesses, une Poutine de Problèmes

 Par Suzy Wong 




François, Mon Ami, On Fait l'Inventaire : Fufu, Fiasco et Fin de Carrière?

François, mon homme, faut qu'on se parle, pis là, c'est pas pour te faire pleurer dans ta bière, mais... tsé, le temps file. Pis on dirait qu'il file pas dans la bonne direction, hein?

Écoute, je te le dis sans détour : peut-être que c'est le temps de mettre tes pantoufles pis de te la couler douce. Imagine-toi, fini les chicanes de corridors, les points de presse qui tournent au vinaigre, pis les débats à l'Assemblée où t'as l'air d'un p'tit gars qui a volé des biscuits.

Tu pourrais enfin te prélasser au soleil, jouer au Trou de cul (jeu de cartes) sans te soucier des sondages, pis même aller voir du tennis et du hockey sans que personne te chicane. Pis, soyons honnêtes, tu pourrais même écrire un livre de recettes genre « Comment faire passer la pilule avec un sourire en coin », un vrai succès de librairie!

Mais si t'es têtu comme un âne pis que tu veux retenter ta chance en 2026, ben, voici quelques p'tits conseils d'ami :

  •  Change de disque : « On va y penser » ou « On travaille là-dessus », ça fait plus rêver personne. Essaye de quoi de plus punché, genre « On a une idée, mais on sait pas trop si c'est la bonne ».
  • Embrasse le bordel : Au lieu de nier les problèmes, fais-en une fête! Organise des festivals de la «gestion de crise» pis des compétitions de « promesses oubliées ».
  • Deviens une vedette du web : Lance une chaîne YouTube où tu expliques « comment expliquer l'inexplicable ». Succès garanti, mon homme!
  • Le troisième lien, ta retraite dorée: transforme le projet du troisième lien en attraction touristique. Un gros tunnel abandonné, une belle métaphore de la politique québécoise, quoi.
  •  Deviens critique culinaire: Laisse tomber la politique, François! Imagine-toi, une série web où tu explores les saveurs du Québec et d'ailleurs. Tu pourrais commencer par te lancer dans une critique des meilleurs recettes de «fufu sauce graine» que cette fois-ci tu pourrais savourer sans ustensiles ! Tes commentaires sur les saveurs complexes et les textures uniques feraient fureur. « Oh la la, cette sauce graine, un vrai délice, ça me rappelle les débats à l'assemblée, c'est épicé, complexe et parfois difficile à digérer! »

Alors, François, qu'est-ce que tu choisis? La retraite au soleil ou le cirque en 2026? Peu importe, le Québec va te regarder avec un mélange de respect pis de « ben voyons donc ».



La Poutine Politique de Legault : Un Plat Trop Lourd à Digérer?

Question de varier les plaisirs, comme tes promesses électorales, François. Imagine-toi, une belle assiette de poutine, ce plat national qui, soyons honnêtes, représente assez bien l'état actuel de la politique québécoise : un mélange d'ingrédients parfois douteux, mais toujours réconfortant.

Alors, François, pendant que tu dégustes cette poutine, on va faire un petit bilan de tes « réalisations » :

  •  Northvolt, le mirage électrique: « Ces frites molles, comme les promesses de Northvolt, on nous a vendu du croustillant, on a eu du mou. »
  • SAAQclic, le cauchemar numérique: « La sauce brune, un peu trop liquide, comme SAAQclic, ça coule de partout, mais ça ne remplit rien. »
  •  Les conventions collectives, la guerre des fromages: « Le fromage en grains qui couine, comme les syndicats, ça crie, ça se plaint, mais ça reste ensemble, bon gré mal gré.»
  •  Le système de santé, la poutine réchauffée: « Cette poutine réchauffée plusieurs fois « un médecin de famille pour chaque québécois », comme notre système de santé, on essaie de la rendre appétissante, mais ça reste toujours fade. »
  •  Le troisième lien, la patate chaude: « Cette patate chaude, qu'on se passe de main en main, comme le troisième lien, personne ne veut la garder, mais elle brûle toujours. »
  •  L'éducation, la poutine mal digérée: "Cette masse informe, qu'est la poutine, me rappel l'éducation, on y met tout, mais à la fin, c'est dur à digérer."

Pis là, je te passe les détails sur les promesses environnementales oubliées, les relations avec les communautés autochtones qui sont parfois plus froides que la bière qui accompagne cette poutine, pis les débats avec Ottawa où t'as l'air d'un touriste perdu.

Alors, François, entre deux bouchées de cette poutine qui a plus de rebondissements qu'un feuilleton télévisé, tu ne penses pas qu'il est temps de te demander si un micro pour parler de bouffe, ne serait pas plus approprié qu'un micro pour parler de politique? Sinon, peut-être immigrer ailleurs?


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