Tarifs douaniers : Cheeto déclare la guerre aux îles désertes et aux manchots

 Par Suzy Wong

Généré par IA avec Grok (moustique.be)

On dirait que la saga des tarifs douaniers de Cheeto continue de plus belle! Son grand manitou du commerce international, Howard (toujours obsédé par ses chats en porcelaine, paraît-il qu'il en a trouvé un nouveau avec un petit chapeau!), lui aurait encore montré le globe en s'exclamant : « Mon Cheeto, mon bon Cheeto! Regardez-moi ces autres patelins! Y nous achètent absolument RIEN! C'est une véritable conspiration économique contre nous autres! »

Pis Cheeto, dont la finesse économique ferait passer un toast brûlé pour un délice gastronomique, aurait encore frappé du poing sur la table (probablement en renversant son Diet Coke) : « C'est assez! On va leur donner une leçon! Des tarifs pour TOUS! Même si y a juste des ours polaires qui se battent avec des volcans!»

C'est de cette façon, mes chers amis, qu'on aurait vu apparaître des droits de douane salés comme la morue sur :
Les îles Heard et McDonald : On imagine déjà les phoques et les manchots en train de se demander ce qu'ils vont bien pouvoir faire de leurs maigres réserves de krill importé, maintenant qu'elles sont taxées à un prix exorbitant. Y vont peut-être se mettre à faire de la contrebande de plancton, qui sait?
Jan Mayen : Les quelques scientifiques courageux qui vivent là-bas pour observer le volcan Beerenberg doivent maintenant payer des droits de douane sur leur équipement de recherche. On se demande s'ils vont devoir vendre des photos de l'aurore boréale pour joindre les deux bouts. « Eh, voulez-vous une belle photo d'aurore? Ça coûte juste le prix d'un spectromètre neuf, taxes incluses! »
Les îles Marshall : Bon, ok, là, il y a du monde. Mais imaginez la surprise du président des îles Marshall quand il a reçu une facture de douane pour… ben, pour tout ce qui arrive sur ses propres îles! On se demande s'il a envoyé un message à Cheeto en lui disant : « Hé, l'ami, on est déjà là! On n'importe pas nos propres cocotiers! »

La logique derrière tout ça reste aussi nébuleuse qu'un matin de brouillard à Terre-Neuve. Certains disent que c'est pour « protéger les industries américaines »… de la concurrence des volcans en sommeil et des colonies de phoques? D'autres murmurent que Cheeto a juste une carte du monde punaisée au mur et qu'il lance des fléchettes pour décider qui va écoper des prochains tarifs.

Ce qui est sûr, c'est que les experts en commerce international sont complètement dépassés, les géographes se demandent s'ils n'ont pas manqué un chapitre important sur l'économie des écosystèmes isolés, et les ours polaires de Jan Mayen doivent être en train de négocier des ententes de libre-échange avec les macareux. On attend la prochaine salve avec impatience : des tarifs sur les météorites qui osent traverser l'atmosphère américaine sans autorisation préalable!