Un Groenland canadien : une union arctique ? (c't'une joke!)

  

Par Suzy Wong

Imaginez un instant : le Groenland, cette vaste étendue glacée, convolant en justes noces avec le Canada. Les majestueux fjords danois se mêlant aux immenses forêts de caribous, une union arctique digne d'un conte de fées polaire. Mais, au milieu de cette idylle, une question brûle les lèvres : comment réagirait l'oncle Sam ? L'idée d'un Groenland canadien le ferait voir tout rouge, tel un homard trop cuit ! On imagine déjà les tweets enflammés, les déclarations tonitruantes, et peut-être même une menace de peser sur le gros bouton de la bombe nucléaire.

Pourquoi le Canada ? Parce que... (et parce qu'on est sympas, bien sûr !)

• Puissance arctique : Le Canada, nouveau roi de l'Arctique ! Imaginez : le OM sortant Justin Trudeau, rebaptisé « Justin l'Inuk », troquant son complet contre un parka en peau de caribou, sirotant un thé au narval avec le président groenlandais devenu Premier ministre, faisant  des concours de chants de gorge et des batailles de boules de neige géantes !

• Ressources naturelles : Le Groenland, nouvel eldorado des minerais rares, aiguise les appétits de l'industrie des technologies vertes. Le Canada promet une exploitation « douce » de ces ressources, un équilibre délicat à trouver dans un écosystème aussi vulnérable. Au Québec, notre Premier Ministre, dont la sensibilité environnementale n'est plus à prouver (cf. Northvolt), promet une exploitation de ces ressources avec la délicatesse d'un ours polaire dans un magasin de porcelaine...

• Géopolitique : Dans un monde où les ours russes et les aigles américains ne se regardent plus en chiens de faïence, qu'ils sont même dans une belle lune de miel, le Canada, avec son nouveau Groenland, deviendrait leur rival commun.

Un rival mécontent : Quand l'oncle Sam fait la grimace

N'oublions pas que les États-Unis ont également des vues sur le Groenland. Un certain président, dont nous tairons le nom pour éviter les crises de nerfs, avait même proposé de l'acheter. Imaginez la scène : Donald Trump tentant de négocier avec un Premier ministre canadanois stoïque. Peut-être le menacerait-il d’annexer les États-Unis et de faire de lui un simple Premier Ministre du territoire des États-Désunis d’Amérique. Autant dire que l'ambiance serait glaciale.

Conclusion : un avenir glacé, mais plein de potentiel (et de rebondissements)

Alors, le Groenland canadien ou le Canada groenlandais, utopie ? L'avenir nous le dira. Une chose est sûre : avec le réchauffement climatique, les frontières sont de plus en plus floues. Et qui sait, peut-être qu'un jour, on verra des canadiens se prélasser sur les plages du Groenland, en sirotant des cocktails à base de baies arctiques, pendant que le Grand Cheetos boude dans son coin.