Quand la haine s'organise : listes noires et censure

 Par Suzy Wong

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La haine intersectionnelle : un danger pour l'égalité

Ben coudonc, on dirait qu'on est en plein dans une belle tempête de marde avec cette histoire d'intersectionnalité des haines! C'est comme si l'extrême droite avait trouvé une recette secrète pour mélanger toutes les pires affaires ensemble : le sexisme, le racisme, l'homophobie pis la xénophobie. Un vrai cocktail explosif!

Pis là, on se retrouve avec des listes noires dans les universités américaines, où on dit aux gens de pas parler de l'antiracisme, du féminisme, des droits LGBT+... C'est comme si on voulait cacher la poussière sous le tapis, mais la poussière, elle finit toujours par ressortir.

La vérité qui dérange : censure et persécution des auteurs

Pis les bibliothèques publiques qui bannissent des livres, c'est encore pire! On dirait qu'on est revenu au temps des bûchers, où on brûlait les livres qui dérangeaient. Des auteurs comme Toni Morrison pis Margaret Atwood, qui parlent de l'esclavage pis des inégalités de genre, ben ça passe pas. Faut croire que la vérité, ça fait peur à certaines personnes.

Mais bon, faut pas se surprendre, cette haine-là, elle date pas d'hier. Au XIXe siècle, les nationalistes français faisaient déjà le même genre de mélange. Pis les fascistes de l'entre-deux-guerres, ben ils ont juste poussé le bouchon encore plus loin.

Il est essentiel de continuer à lutter pour l'égalité et la justice, et de soutenir les personnes qui sont visées par la haine

Pis là, on a Donald Trump qui remet ça au goût du jour avec son fameux « wokisme ». C'est comme un mot magique qui permet de taper sur tout le monde en même temps : les féministes, les minorités, les immigrants, les écologistes... Tout le monde y passe!

Pis les réseaux sociaux, ben c'est le terrain de jeu parfait pour répandre cette haine-là. Les femmes musulmanes, les femmes roms, les femmes de couleur... C'est comme si elles étaient des cibles de choix pour les trolls pis les haineux.

Alors, on fait quoi avec tout ça? Ben, on continue de se battre pour l'égalité pis la justice. On dénonce la haine pis la discrimination, pis on soutient les personnes qui sont visées. Parce que, même si ça peut sembler décourageant, on est plus fort que la haine. Pis ensemble, on peut faire une différence.